"Quand on fait des sondages à la sortie des urnes, on constate qu’en milieu populaire, un électeur sur quatre se décide au dernier moment. Et le biais déclaratif et très fort : certains peuvent très bien vous dire pour qui ils voteraient sans jamais se rendre au bureau de vote. C’est pour cela qu’il est très difficile d’analyser l’abstention à la lumière des entretiens." Céline Braconnier, sociologue à l’université de Cergy-Pontoise, est spécialiste du vote ouvrier ou populaire.
lundi 19 septembre 2011
Voter FN, pour certains ouvriers, c’est retrouver une identité collective
Entretien avec Céline Braconnier, sociologue à l’université de Cercy-Pontoise, qui décrypte les témoignages des salariés de M-Real, une papeterie en Haute-Normandie touchée par la crise.
"Quand on fait des sondages à la sortie des urnes, on constate qu’en milieu populaire, un électeur sur quatre se décide au dernier moment. Et le biais déclaratif et très fort : certains peuvent très bien vous dire pour qui ils voteraient sans jamais se rendre au bureau de vote. C’est pour cela qu’il est très difficile d’analyser l’abstention à la lumière des entretiens." Céline Braconnier, sociologue à l’université de Cergy-Pontoise, est spécialiste du vote ouvrier ou populaire.
"Quand on fait des sondages à la sortie des urnes, on constate qu’en milieu populaire, un électeur sur quatre se décide au dernier moment. Et le biais déclaratif et très fort : certains peuvent très bien vous dire pour qui ils voteraient sans jamais se rendre au bureau de vote. C’est pour cela qu’il est très difficile d’analyser l’abstention à la lumière des entretiens." Céline Braconnier, sociologue à l’université de Cergy-Pontoise, est spécialiste du vote ouvrier ou populaire.
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